Il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, mais à voir certains commentaires sur les réseaux, certains devraient aussi s'inspirer du célèbre dicton avant de publier leurs commentaires, le plus souvent déplacés.
Il n'en reste pas moins que le tragique accident qui a coûté la vie à une automobiliste de 43 ans mercredi matin, a eu des conséquences sur le trafic loin à la ronde et jusqu'en début de soirée. Chacun a fait avec les moyens du bord, forcé de quitter l'autoroute à Crissier, Aubonne ou Morges, à la hauteur de la Fédération vaudoise des entrepreneurs.
On a ainsi assisté à des scènes surréalistes, des bouchons se formant sur des axes d'ordinaires "déserts" ou presque comme au croisement de Chaniaz, dans la montée de Villars-sous-Yens direction Yens, à Préverenges (route du lac), en résumé un peu partout.
Une journée noire à bien des égards, le retour retardé à la maison ou à un rendez-vous n'étant cependant que de maigres péripéties en regard du drame qui a frappé de plein fouet une famille en ce mercredi.
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