Chaque semaine, nous vous proposons de partir à la découverte d’un village du district à travers l’un de ses jeunes citoyens qui livre sa vision d’avenir. Aujourd'hui, nous avons rencontré Laurine Noll, 19 ans et habitante d'Etoy.
Comment vois-tu...
- Si je commence par parler de la zone industrielle, je remarque qu’il y a quelque chose de frappant. Beaucoup de commerces ouvrent, mais n’arrivent pas à s’implanter, et ferment rapidement. Il y a une grande rotation d’entreprises dans cet espace, ce qui prouve que ce n’est pas simple de perdurer. Si j’évoque maintenant le village en lui-même, je dois dire qu’Etoy est plutôt assez calme et que l’ambiance est conviviale. Il y a de quoi faire, grâce à la petite épicerie, notre fleuriste et l’Auberge communale qui vient de changer de propriétaire.
- Ça fait plus de neuf ans que j’habite à Etoy, mais je ne pense pas que je vais y rester toute ma vie. Une bonne partie de mes activités sont un peu plus au centre du Pied du Jura, ou directement à Morges comme le gymnase que je dois finir en juillet 2020. J’ai mon cheval qui est au manège d’Apples ce qui m’oblige à faire beaucoup de déplacements. Au niveau professionnel, j’aimerais faire une école d’art, car c’est le domaine qui me plaît le plus. Mais avant ça, je vais faire quelques mois dans une entreprise pour rentrer dans le monde du travail. J’ai aussi l’envie de partir voyager.
Partez à la découverte du village en vidéo
- C’est clair que la situation est inquiétante. Je vois d’un bon œil les grèves qu’il y a eu ces derniers temps, car ça permet de sensibiliser la population à la cause. Personnellement, j’essaie de faire des efforts en mangeant des produits locaux ou en utilisant les transports publics, mais je dois avouer que j’ai encore de la peine à me priver de certaines choses comme l’avion.
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